Une nouvelle qui fait positivement réagir : la Banque du Canada a abaissé son taux directeur pour la troisième fois consécutive, cette fois de 0,25 %. Pendant ce temps, aux États-Unis, la Réserve fédérale a également réduit son taux, de 0,5 %. Ces mouvements laissent entrevoir d’autres baisses dans les mois à venir!
Plus d’acheteurs sur le marché
Ces ajustements rendent l’accession à la propriété plus accessible. Avec des conditions de qualification plus favorables pour les hypothèques, davantage de gens se lancent dans l’achat immobilier. Les assouplissements annoncés par le gouvernement fédéral faciliteront également le processus d’acquisition de biens.
Cependant, attention : le faible inventaire sur le marché pourrait poser des défis à l’avenir. La hausse des loyers, due à une pénurie de logements, pousse aussi les gens à envisager l’achat pour se loger.
Un vent d’optimisme pour l’immobilier
Avec ces baisses de taux et le manque d’inventaire, le marché immobilier semble bien parti pour voir ses prix augmenter. C’est une excellente nouvelle pour les propriétaires actuels et futurs ! Les conditions sont idéales pour faire fructifier la valeur de votre bien.
Pourquoi ces baisses?
La Banque du Canada vise à dynamiser l’économie tout en maintenant le chômage à un niveau historiquement bas de 6,4 %. Une partie de cette stratégie vise à préparer le terrain pour les renouvellements d’hypothèques en 2025 et 2026, évitant ainsi un choc dû à une éventuelle hausse des taux d’intérêt.
Une situation unique pour le Canada
Au Canada, la durée des hypothèques est souvent de 5 ans, ce qui rend les fluctuations de taux plus perceptibles que chez nos voisins du sud, où les hypothèques s’étendent généralement sur 30 ans.
Dans ce contexte, les Québécois peuvent envisager l’avenir avec optimisme. Si vous songez à acheter, c’est le moment idéal pour commencer vos recherches avant que la surenchère ne revienne sur le marché.
Pour aller plus loin, n’hésitez pas à consulter les derniers rapports sur l’inflation et les perspectives économiques!
Cet article est publié en collaboration avec L’Odyssée financière